Depuis que les touristes vont à Paris, ils ne manquent pas de visiter le quartier Montmartre qui, depuis la fin du XXe siècle, a une certaine réputation de vie nocturne et exubérante. C'est le quartier qui était habité et fréquenté par les peintres, écrivains et leurs disciples qui se retrouvaient dans les maisons closes et cabarets de l'époque d'où sa réputation de dépravation. Picasso et Savatore Dali y auraient passé quelques années de leur vie. Un musée Espace Dali Montmartre expose 300 de ses oeuvres.
À notre sortie de la rame de métro station Place des Abbesses, nous avons eu droit à un mode de transport vertical rarement vue dans les métros modernes. Nous sommes montés à bord d'un gros ascenseur qui contenait un nombre important de passagers. Celui-ci nous amena à la sortie sur l'extérieur où nous avons gravi le reste de la butte par un funiculaire qui se trouvait à quelques pas de là.
Nous avons donc vu une certaine similitude avec Québec, notre ville qui possède aussi son funiculaire pour gravir le Cap-Diamant. Toutefois, celui-ci de fabrication plus moderne, possède un aire d'embarquement vraiment bien conçu. Après s'être procuré leurs billets de transport aussi valide pour le métro au coût de 1,70 euros, les passagers passent dans un sas d'embarquement qui contient le nombre exact de passagers admis dans la cabine du funiculaire. Un panneau lumineux indique le décompte des passagers et lorsque le sas est COMPLET, les barrières se bloquent et aucune autre personne ne peut accéder à l'espace. Par la suite, la cabine gravit la pente aménagée d'un espace vert bordé de fleurs et ne met que quelques secondes pour arriver au sommet.
À notre descente, nous avons droit à une vue imprenable du Sacré-Coeur. C'est une belle église dont la construction est assez récente: elle débuta en 1870 pour être achevée en 1914. Elle possède aussi une histoire reliée à un voeu que deux richissimes hommes d'affaires firent au début de la guerre franco-prussienne de 1870 : c'était de voir la France sortir victorieuse de ce conflit.
Nous sommes entrés par les grandes portes et une cérémonie religieuse était en cours avec tous les gens qui circulaient dans les allées de l'église. Contrairement aux autres églises de Paris que nous avons visitées jusqu'à présent, l'espace des fidèles était occupé par des bancs d'église comme nous les connaissons plutôt que par des chaises. Au sortir de la nef ornée de plusieurs chapelles et oeuvres d'art religieux, nous sommes invités à visiter la crypte et le Dôme de l'église.
Pour 8 euros, notre premier arrêt a été la crypte, un espace sombre éclairé de quelques lumières qui contient quelques reliques religieuses et objets précieux d'époque. Par la suite, nous sommes passé à l'accès du Dôme où, par un étroit escalier de marbre de 300 marches, nous avons gravit une des tours de la façade avec quelques soupiraux d'éclairage pour éclairer l'espace. Nous nous sommes vraiment crus à une époque lointaine où les moines accédaient à ces tours pour accomplir leurs tâches. Rendus au haut de cette tour, les escaliers étroits continuent sur différents paliers de la partie circulaire de l'église. La terrasse étroite donne droit à des vues impressionnantes sur les quartiers de Paris. Une expérience qui vaut le coût d'entrée mais il faut être en forme pour gravir l'escalier et ne pas souffrir d'étourdissement à tournoyer dans l'étroit escalier en spirale.
Au sortir de l'église, c'était l'heure du dîner (déjeuner pour les européens), nous nous sommes donc procuré un sandwich dans une boulangerie du secteur, occupé à notre grande étonnement, par une multitude de grands magasins de tissus et coupons au lieu de magasins de gadgets à touristes comme c'est le cas dans de tels endroits touristiques.
Par la suite, question de terminer notre visite du quartier, nous nous pointons vers Place du Tertre où pullulent les caricaturistes, portraitistes et artistes peintres touristiques, tous entassés sur une Place dont la circulation est difficile avec tous ces touristes en déplacement circulaire autour de ce petit espace. Pour compliquer les affaires, des espaces de restauration occupent aussi le centre de la Place.
Nous ne pouvions terminer notre tour du Montmartre sans piquer une pointe vers le fameux Moulin Rouge du quartier Pigalle situé à proximité. Ce cabaret réputé pour ses revues cancan a été construit en 1889 et ce n'est qu'en 1900 qu'il a été transformé en dancing. Bien qu'il ne possède d'origine que ses ailes rouges, ce cabaret célèbre continue aujourd'hui de présenter d'étincelantes revues aux effets spéciaux du jeté de la jambe. Aussi, tout le secteur comprend tous genres de divertissements sur le sexe un peu comme l'était la 42e avenue de New-York dans les années 80.
Après cet incursion dans le quartier des tissus, des espaces religieux et artistiques de Paris, nous sommes revenus par métro pour regarder une autre étape à la télé du Tour de France.
Nous avons donc vu une certaine similitude avec Québec, notre ville qui possède aussi son funiculaire pour gravir le Cap-Diamant. Toutefois, celui-ci de fabrication plus moderne, possède un aire d'embarquement vraiment bien conçu. Après s'être procuré leurs billets de transport aussi valide pour le métro au coût de 1,70 euros, les passagers passent dans un sas d'embarquement qui contient le nombre exact de passagers admis dans la cabine du funiculaire. Un panneau lumineux indique le décompte des passagers et lorsque le sas est COMPLET, les barrières se bloquent et aucune autre personne ne peut accéder à l'espace. Par la suite, la cabine gravit la pente aménagée d'un espace vert bordé de fleurs et ne met que quelques secondes pour arriver au sommet.
À notre descente, nous avons droit à une vue imprenable du Sacré-Coeur. C'est une belle église dont la construction est assez récente: elle débuta en 1870 pour être achevée en 1914. Elle possède aussi une histoire reliée à un voeu que deux richissimes hommes d'affaires firent au début de la guerre franco-prussienne de 1870 : c'était de voir la France sortir victorieuse de ce conflit.
Nous sommes entrés par les grandes portes et une cérémonie religieuse était en cours avec tous les gens qui circulaient dans les allées de l'église. Contrairement aux autres églises de Paris que nous avons visitées jusqu'à présent, l'espace des fidèles était occupé par des bancs d'église comme nous les connaissons plutôt que par des chaises. Au sortir de la nef ornée de plusieurs chapelles et oeuvres d'art religieux, nous sommes invités à visiter la crypte et le Dôme de l'église.
Pour 8 euros, notre premier arrêt a été la crypte, un espace sombre éclairé de quelques lumières qui contient quelques reliques religieuses et objets précieux d'époque. Par la suite, nous sommes passé à l'accès du Dôme où, par un étroit escalier de marbre de 300 marches, nous avons gravit une des tours de la façade avec quelques soupiraux d'éclairage pour éclairer l'espace. Nous nous sommes vraiment crus à une époque lointaine où les moines accédaient à ces tours pour accomplir leurs tâches. Rendus au haut de cette tour, les escaliers étroits continuent sur différents paliers de la partie circulaire de l'église. La terrasse étroite donne droit à des vues impressionnantes sur les quartiers de Paris. Une expérience qui vaut le coût d'entrée mais il faut être en forme pour gravir l'escalier et ne pas souffrir d'étourdissement à tournoyer dans l'étroit escalier en spirale.
Par la suite, question de terminer notre visite du quartier, nous nous pointons vers Place du Tertre où pullulent les caricaturistes, portraitistes et artistes peintres touristiques, tous entassés sur une Place dont la circulation est difficile avec tous ces touristes en déplacement circulaire autour de ce petit espace. Pour compliquer les affaires, des espaces de restauration occupent aussi le centre de la Place.
Nous ne pouvions terminer notre tour du Montmartre sans piquer une pointe vers le fameux Moulin Rouge du quartier Pigalle situé à proximité. Ce cabaret réputé pour ses revues cancan a été construit en 1889 et ce n'est qu'en 1900 qu'il a été transformé en dancing. Bien qu'il ne possède d'origine que ses ailes rouges, ce cabaret célèbre continue aujourd'hui de présenter d'étincelantes revues aux effets spéciaux du jeté de la jambe. Aussi, tout le secteur comprend tous genres de divertissements sur le sexe un peu comme l'était la 42e avenue de New-York dans les années 80.
Après cet incursion dans le quartier des tissus, des espaces religieux et artistiques de Paris, nous sommes revenus par métro pour regarder une autre étape à la télé du Tour de France.
Bonjour aux nouveaux camping caristes,
RépondreEffacerEn vous lisant, on a bien ri de vos débuts avec le nouveau VR.
Bonne suite au voyage assez extraordinaire,
Lisette et Stéphane